Peut-on gagner de l’argent avec les réseaux sociaux ?

Quelques éléments de synthèse sur le sujet des réseaux sociaux, et quelques éléments de réponse tirées d’expérience et de témoignages. Avant de se poser la question «peut-on gagner de l’argent avec les réseaux sociaux», il faut savoir comment choisir les réseaux sociaux entre tous (Viadéo, Linkedin, Pinterest, Facebook,..) En effet, si on investit du temps ou de l‘argent sur un réseau social c’est bien que l’on en attend un retour sur investissement (ROI), ainsi on est en droit d’attendre un ou plusieurs indicateurs de retour sur investissement afin de pouvoir mesurer l’intérêt in fine de cet investissement. Choisir : En fonction de son activité ou de sa clientèle on va choisir un réseau ou un autre : où sont mes clients, sont-ils sur les réseaux sociaux et sur quels réseaux sociaux sont-ils ? Telles sont les questions clés qu’il faut se poser : corollaire s’ils n’y sont pas. Éléments de mesure et notions à utiliser – On parle de part de marché digitale – Notion de ROI et RONI (Risque de ne pas y être) – Metrics = comptage du nombre de visiteurs par exemples (élément de mesure) Conseils sur les pratiques : – Il vaut mieux suivre un compte sur un réseau que d’être partout et de tout faire à moitié ou mal. – Etre sur les réseaux sociaux ça coute de l’argent (temps ou sous-traitance) donc réflexion sur le choix des réseaux sociaux – Les agrégateurs de Réseaux Sociaux (comme Tweetdeck) facilitent les tâches, mais attention chaque communauté a ses pratiques et usages, donc il faudra différencier le discours au fur et à mesure. – Il faut être sincère dans son discours – Il faut savoir rester humain Astuces : – il faut attirer le monde par le monde : le principe de la pièce pour faire la manche ; si vous ne mettez pas une pièce dans votre bonnet, vous risquez fort ne pas attirer de personnes, dès lors qu’il y a déjà des pièces (du monde), vous allez attirer et intéresser du monde. Donc parfois pour démarrer il faut acheter des Fans. – Au départ si on « achète » des Fans (Facebook Ads, jeux concours, sondage, par exemple), on fera bonne figure mais on aura un niveau d’engagement fable et un ROI sur le trafic faible. Mais progressivement après avoir recruté, il faudra créer une relation avec la communauté. – Rendre service : il fait apporter un service ou une valeur particulière Résultat attendus ou constatés : – Les réseaux sociaux apportent du trafic ou du flux sur les sites associés à la marque (Les sites.Blogs gérés par Woomeet comptent entre 5 et 20% de trafic provenant des réseaux sociaux) – donnent une notoriété ou une visibilité à la marque (nombre de fans) – Ce qui est important ce n’est pas ce qui est sur la page de la marque mais sur le mur des Fans par rapport à la marque Philosophie qui peut tenir sur les réseaux sociaux : « Avant d’être croyant il faut être pratiquant ! » Note de synthèse par Eric Fourcaud, témoignages de Jean-Paul Crenn sur DevCom Midi-Pyrénées 2012...

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formation du réseau RDT Midi-Pyrénées

Woomeet à animé deux journées  de formation (le 3 juillet et le 9 octobre ) pour le compte du Réseau de Diffusion Technologique de Midi-Pyrénées (RDT) animé et coordonné par MPI (Midi-Pyrénées Innovation). Au total, une vingtaine de développeurs économiques, chargés d’affaires, agents de développement économique ont été sensibilisés et ont pratiqué sur quelques outils du web 2.0 afin de pouvoir mieux appréhender et conseiller les entreprises dans leur démarche de développement d’une communication sur ces nouveaux médias. Ci-dessous, le support de cours utilisé sur Prezi. web 2.0, SG et Média sociaux on...

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Les réseaux sociaux sont-ils nos amis (à lire absolument)

Autrefois l’apanage des jeunes adeptes de nouvelles technologies, les réseaux sociaux numériques touchent aujourd’hui toutes les générations. Ces réseaux permettent à chacun de se connecter à la multitude, mais leur usage n’est pas anodin – d’autant qu’avec l’avènement des smartphones et des tablettes tactiles, nous les emmenons partout où nous allons. Introduite par une spécialiste qui se veut parfaitement objective, l’opposition entre un défenseur et un pourfendeur de ces réseaux permettra au lecteur d’en apprendre plus sur leur fonctionnement, mais aussi sur leurs dangers, et ainsi de mieux les utiliser – ou s’en prémunir. «Le choc des idées» : se forger sa propre opinion À chaque instant, nous pouvons accéder à une multitude d’informations, sur tous les sujets et à partir de n’importe quel endroit. Paradoxalement, il est de plus en plus difficile de trouver des connaissances de base fiables, ce qui tend à renforcer les discours superficiels et les préjugés. Pour lutter contre cette tendance, la collection «Le choc des idées» propose un panorama inédit sur divers sujets d’actualité. L’introduction et la conclusion de ces ouvrages, rédigées par des spécialistes impartiaux, apportent au lecteur le bagage nécessaire pour aborder sans complexe les arguments des deux contradicteurs. La partie de confrontation entre deux grandes positions antagonistes permet, quant à elle, de faire le tour des problématiques et des solutions proposées. Courts, synthétiques et faciles d’accès, les livres de cette collection permettent au lecteur de se forger sa propre opinion, et d’échapper ainsi aux discours simplistes de certains autocrates de notre société. Le sommaire – Introduction (Julie Denouël) – Les réseaux sociaux numériques : le social au futur (Éric Delcroix) – Les réseaux sociaux numériques : questions, enjeux, paradoxes (Serge Proulx) – Droit de réponse de Éric Delcroix – Droit de réponse de Serge Proulx – Conclusion (Julie Denouël) Les auteurs – Éric Delcroix : maître de conférences à l’université Lille 3. – Serge Proulx : professeur associé à Télécom ParisTech et à l’université du Québec à Montréal. – Julie Denouël : maître de conférences à l’université Paul-Valéry Montpellier 3. Informations pratiques Titre : Les réseaux sociaux sont-ils nos amis ? Collection : Le choc des idées Éditeur : Le muscadier Diffuseur: Pollen Diffusion (PL2D) Nombre de pages : 128 Prix TTC : 9,90 euros Date de parution : 30 juin 2012 ISBN :...

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Comment Facebook a changé nos vies et notre rapport à l’information

Compagnon quotidien de près de 25 millions de Français et 900 millions de Terriens, Facebook occupe une place centrale dans nos vies. Le réseau social crée par Mark Zuckerberg a permis à nombre d’entre nous de valoriser sa propre existence, mais il a surtout imposé une révolution des mœurs bien plus profonde : il a métamorphosé notre rapport à l’information. Les internautes ne veulent plus être de simples spectateurs de l’information Passés les premiers mois sur Facebook devient le lieu d’accès privilégié au reste de sa vie (retrouvailles d’amis perdus, accès en toute discrétion à la vie privée de certains proches qui n’ont pas saisi les règles de confidentialité opaque du service), on s’aperçoit que le réseau social a fait évoluer la façon dont nous comportons face aux semi-remorques d’information qui sont délivrées sous nos yeux en permanence par nos « amis ». Fini d’être simplement assis derrière son écran à admirer les élucubrations égocentriques de ses contacts, on produit nous aussi de l’information. Sur les cinq heures passées par mois sur Facebook selon une étude de décembre 2011 de ComScore, nous en passons désormais une plus grande partie à être acteur de notre vie virtuelle, à produire soi-même du contenu, qu’il soit d’un grand intérêt ou non. Nous sommes passés d’un mode « pull » (où les marques et les médias ne faisaient que nous pousser de l’information prémâchée), à un mode « push » (où nous créons nous-mêmes de l’information pour l’envoyer à nos proches). Les internautes sont devenus symboliquement acteurs de leur propre vie, en faisant de l’autoroute de l’information une voie désormais à double sens. Nous devenons alors de véritables filtres et la tendance à rechercher et sélectionner le meilleur de l’information dans le bruit social s’accentue au fur et à mesure que de nouveaux réseaux sociaux apparaissent. Le social content, nouveau roi des médias Si l’on excepte le bruit crée par les utilisateurs qui ne se servent de Facebook (et désormais de Twitter, qui a accentué la tendance de fond soulignée ici) que pour nous abreuver de leurs délires futiles et passagers, les partages d’information de qualité sont de plus en plus nombreux, faisant des réseaux sociaux dans leur ensemble une source d’informations inédite et un fantastique outil de détection de tendances. Les internautes peuvent dédier des statuts, mais partager des photos, des vidéos, des avis sur leurs dernières acquisitions, tout ce qu’ils aiment, tout ce qu’ils n’aiment pas est affiché au grand jour, au vu et au su de tous. A peine arrivé, le « brand content », cette création de contenu des marques destinées à leur permettre de préempter un sujet dans les médias est balayée par la puissance du « social content », portée par le succès des plateformes d’information incontournables que sont devenues Facebook et Twitter. L’affaire du Tweet de Valérie Trierweiler pendant la campagne des législatives 2012 est d’ailleurs symptomatique de ce changement de paradigme profond, car ce n’est pas la journaliste qui s’est exprimé mais bel et bien la femme, l’être humain, avec ses desseins personnels. Ce temps fort médiatique des six derniers mois aura également de permis de constater que le « social content » est traité avec une force et une pertinence équivalentes à celle d’une dépêche ou d’une enquête journalistique traditionnelle et approfondie. Cela prouve à quel point le monde a changé et combien le social content est rentré dans nos habitudes comme une nouvelle source d’informations privilégiée. Les marques, contraintes de s’adapter Face à notre changement d’attitude, de perception de l’information, les marques ont dû s’adapter. Le discours marketing classique, formaté, calculé, ne passe pas la barrière à l’entrée du social content qui a brisé les barrières entre les hommes...

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Les Français, les Marques et Facebook

Les Français, les Marques et Facebook  : Omnicom Media France et Social Lab lancent Page Karma Pour la toute première fois en France, Omnicom Média France et Social Lab présentent en exclusivité Page Karma, un outil qui dévoile la manière dont les Français interagissent avec les marques sur Facebook. Surprenant… Pourquoi Page Karma ? Aujourd’hui, Facebook compte en France 25 millions de membres actifs. Chaque jour, 66% d’entre eux se connectent à Facebook et des milliers de marques françaises ont souhaité tirer parti de cet espace de communication et de conversation. L’engagement entre une marque et ses fans est ainsi devenu capital car c’est précisément cet engagement qui va déterminer si une marque apparaît de manière plus ou moins visible dans le «  fil d’actualité » de ses fans. Il est donc essentiel pour les responsables marketing de comprendre ce qui génère cet engagement, de le mesurer et de pouvoir le comparer au sein d’une même catégorie de produits, par exemple. « Nous avons constaté qu’aucun outil ne permettait de comprendre vraiment la manière dont se comportent les utilisateurs de Facebook en France envers les Marques et les Médias et qu’aucun classement n’offrait la possibilité de comparer avec précision et crédibilité la dynamique des Pages françaises, les classements existants étant incomplets et Facebook lui-même fournissant très peu de données à ce sujet », explique Yves Baudechon, co-fondateur de page Karma. «  C’est pourquoi nous avons développé Page Karma, une solution technologique unique qui mesure, compare et permet d’améliorer le rayonnement des Pages Facebook des Marques en France, avec l’ambition avouée d’en faire la référence ». Page Karma en exclusivité chez Omnicom Media France En France, Page Karma se lance en partenariat avec Omnicom Media France dont le management a directement perçu le potentiel de l’outil et souhaité obtenir l’exclusivité de son utilisation, devenant ainsi la seule agence média française à disposer de Page Karma. Social Lab France collabore déjà avec Omnicom Media group sur diverses problématiques clients, cette confiance est une réassurance forte sur le sérieux de la démarche. Christophe Dané, Directeur General en charge des activités digitales de Omnicom Media Group, explique la pertinence de cette collaboration : «  Nous étions à la recherche d’un outil capable de nous donner un niveau d’information et d’analyse stratégique pour la présence sur les réseaux sociaux de nos clients. Nous avons détecté sur l’outil de Social Lab une primeur d’information jamais égalé sur ce type d’outil. Les annonceurs ont besoin sur ce secteur de référent, d’analyses qui permettent d’agir rapidement. L’outil Page Karma répond point pour point à tous ces critères. Souple, simple et apportant des informations exclusives, Page Karma est l’outil incontournable pour piloter sa stratégie sur...

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La grogne des annonceurs contre Facebook !

Il nous arrive parfois de lire la presse informatique, un article sur 01 Business & Techno du 14 juin dernier a retenu toute notre attention : le Fait que GM retire tout son budget publicitaire à Facebook, la veille de son introduction en bourse. les agences de communication sont interrogées sur ce point et sur l’utilité d’utiliser Facebook pour ses campagnes promotionnelles (Annonces pub) “Accumuler des Fans sur Facebook et des Followers sur Twitter et avoir des taux d’engagement, c’est très sympathique. Mais ce dont ont besoin les annonceurs, c’est de savoir, pour chaque euro investi, ce que cela va leur rapporter en notoriété ou en terme de ventes” (Franck Michel de Social Mix Media) Réflexion à méditer, …mesure t’on le retour d’investissement de l’activité sur un réseau social de cette manière ? la publicité a t’elle vraiment de l’avenir sur des médias qui se disent sociaux ? Pensez-vous que les jeunes générations sont encore sensibles à la publicité ?...

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Six outils Analytics pour suivre son activité sur Twitter

Suivi du nombre d’abonnés, de retweets, de réponses… Les outils conçus pour analyser et piloter son activité sur le réseau social se sont multipliés.  La principale limite des outils Analytics pour Twitter proposés sur le marché concerne le nombre de tweets. Ces solutions exploitent en effet l’API du réseau social qui fournit une analyse limitée aux 1500 derniers tweets. Petit tour de piste de quelques solutions tierces présentées sur le Journal du Net.. (A noter que twitter a annoncé en septembre son propre outil d’analyse, qui reste encore en beta...

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Woomeet recrute un “community manager”

Dans le cadre de son développement de services sur Facebook, Woomeet recrute un “Community Manager”. Vous avez une expérience significative sur les principaux réseaux sociaux utilisés en France (Facebook, Viadéo, Twitter, Copains d’Avant, Badoo.com,..). Vous avez déjà utilisé ces réseaux pour recruter pour le compte d’une marque, organisé un événement depuis l’un de ses outils…Vous avez intégré les concepts du Web 2.0, les notions d’identité numérique , d’avatar. Vous restez polyvalent dans le domaine du web, tout en ayant une facilité pour la rédaction sur le web (blogging, fiches produit en e-commerce), votre profil nous interesse. Poste basé en Ariège Type de contrat : CDI Poste à pour voir en mars...

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